L’entreprise de communication Zoom renonce au mercredi sans réunion. Selon l’entreprise, une telle mesure compromettrait la coopération générale.
L’entreprise américaine Zoom, devenue synonyme d’appels vidéo, met fin à ses mercredis sans réunion. Ces journées sans réunion auraient un impact négatif sur la coopération entre collègues.
Le patron décide
Cette décision s’inscrit dans le cadre plus général d’un plan visant à rétablir certains mécanismes en vigueur pendant les confinements. Une autre nouvelle a été publiée cette semaine concernant la réduction du télétravail, ce qui semble encore un peu bizarre pour une entreprise comme Zoom.
Selon un mémo du PDG Eric Yuan, les affaires évoluent trop rapidement pour que Zoom puisse continuer ces mesures. La pause des réunions en milieu de semaine est un obstacle bien trop important à une collaboration harmonieuse entre les employés de Zoom qui se trouvent dans des endroits différents, ajoute-t-il. Yuan encourage désormais ses employés (ou bien les Zoomies) à définir des limites personnelles pour réussir. Quoi que cela veuille dire dans ce contexte.
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Il y a un peu plus d’un an, 84 % des employés ont indiqué qu’ils souhaitaient maintenir cette mesure. Un pour cent de plus ont également déclaré dans une autre enquête qu’ils souhaiteraient que le travail à domicile soit maintenu. Zoom ayant licencié 1 300 employés au début de l’année, ces chiffres sont désormais beaucoup moins élevés.
Une solution serait peut-être que les Zoomies utilisent van Zoom Clips. Cette nouvelle fonctionnalité permet aux utilisateurs d’enregistrer et de modifier des vidéos, qu’ils peuvent ensuite envoyer à leurs collègues.